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✫ Récit de mon accouchement...

Hello ♥

J'espère que vous allez bien et que votre été se passe bien. J'avoue que niveau actualité c'est pas le top: covid, inondations, etc,... Personnellement, j'ai fait une déconnexion totale et je suis clairement dans ma petite bulle, encore et toujours aujourd'hui...

Vous avez suivi ma grossesse sur les réseaux sociaux, qui était vraiment géniale, même si incompatible avec le boulot et les gros efforts. Je pensais que mon accouchement le serait tout autant, à vrai dire je n'y pensais même pas car je ne voulais pas me mettre trop de trucs en tête... Et, finalement, cet accouchement aura été totalement différent de tout ce que je pouvais imaginer... Aujourd'hui, j'ai décidé de vous partager mon récit de l'accouchement. En même temps, je me dis que ça me permettra de me libérer, encore une fois, de ce traumatisme... même si, actuellement, je ne suis pas encore parvenue à tourner la page.

✫ Commençons par le commencement... 

En fin de grossesse, j'ai littéralement cru que j'accoucherais plus tôt : contractions, perte du bouchon muqueux,... D'ailleurs, trois vendredis de suite, j'ai pris des bains ou téléphoné à la maternité car j'ai cru que c'était le moment. Et non, notre petit bout parvenait déjà à nous mener par le bout du nez.

Une fois à terme (40SA en Belgique), on m'annonce que je dois avoir un monitoring un jour sur deux. Entre-temps, je teste encore tout pour accoucher: framboisier, dattes, nettoyage, stimulation de la poitrine...aucune astuce ne permettait le déclenchement! D'ailleurs, je saturais un peu lorsqu'on me donnait un conseil puisque je l'avais déjà essayé et je n'y voyais aucun résultat.. 

Au troisième monitoring, un lundi, la sage-femme m'annonce que je serai déclenchée le lundi à J+11. J'espérais encore que notre loulou arrive avant. Au quatrième monitoring, le mercredi, on me demande si j'ai choisi moi-même la date du lundi car il serait plus judicieux d'être déclenchée le vendredi, soit 2 jours après. J'accepte d'être déclenchée le vendredi, en espérant toujours accoucher avant. Je voulais juste mon petit bébé dans les bras.

Le Jour-J, 6h du matin, on se retrouve donc à l'hôpital. Je me sens vraiment bien, tranquille et détendue. Je sais que quelques heures après, notre bébé serait là. 

La sage-femme lance un premier monitoring. Je fais mes grilles de sudoku, en mode zen. Ensuite, je ressens le besoin de faire pipi...Je me rends donc aux toilettes et là, boum, je perds les eaux. Du coup, j'en rigole avec mon mari car, moi qui rêvais d'un accouchement naturel, je me disais que j'avais quand même bénéficié d'un moment inattendu. La perte des eaux peut ne pas déclencher un accouchement immédiat donc je suis déclenchée comme prévu.

Clairement, je suis en souffrance de ouf. Mon mari me masse le bas du dos mais rien n'y fait. Je souffre à en pleurer (même si je me retiens lol). La sage-femme me propose la péridurale, que j'accepte, car mon col est à 4cm déjà. 

Ensuite, je laisse le temps faire... on me propose de faire des exercices à 4 pattes sur le lit pour faire descendre le petit. Je commence tranquillement mais grosse frayeur parce qu'à chaque contraction, le rythme cardiaque du petit décèlerait. Je commence tout doucement à paniquer mais je ne me rends pas bien compte car ma tête tourne de plus en plus; je me sens super mal et je dis à mon mari: il faut appeler la sage-femme je me sens pas bien du tout. J'appuie plusieurs fois sur le bouton et je me sens partir... Je vois la sage-femme au téléphone qui appelle peut-être du renfort? Je suis mise sous oxygène. Je ne comprends rien et je me dis qu'ils vont peut-être devoir faire une césarienne vu que je ne tiens pas le coup. Je vois 2 sages-femmes entrer dans la pièce, en plus de celle présente, ainsi que ma gynécologue. J'entends en moins d'une minute : " J'ai un col à 5, non à 6." puis une autre SF " On est à 7, 8 là." et finalement ma gynécologue: " on est à dilatation complète". Mon col est passé de 5 à 10 en un rien de temps, il faut arrêter les médicaments. On me propose de pousser déjà mais rien n'y fait, bébé ne descend pas. Je suis littéralement dans le gaz et répète plusieurs fois: "je veux mon bébé, sauvez mon bébé"

Je reste allongée durant deux heures. Pendant ces deux heures, la SF me propose de refaire l'exercice à quatre pattes pour faire descendre le bébé. Je suis en stress total puisque le bruit du monitoring m'a traumatisée juste avant. La SF met en silencieux le son du monito pour que je n'y pense pas.

Après deux heures à dilatation complète, ma gynécologue entre dans la salle avec ses instruments et me dit : "Maintenant, il va falloir tout donner parce que j'ai déjà préparé mes outils pour réaliser une césarienne en urgence. Le petit récupère à chaque fois mais à un certain moment, il ne va plus récupérer."

Dans ma tête, je me dis que je veux absolument mon peau à peau et, si je devais être césarisée, je risquais de ne pas sortir à temps de l'hôpital pour présenter notre fils à ma tante qui est venue spécialement de France pour le rencontrer. Bref, on m'enlève mes monitos, on me montre la chevelure du petit à l'aide d'un miroir.

Là, en moins de dix minutes, j'expulse littéralement le petit jusqu'à entendre "C'est bon. Arrête de pousser maintenant". Là, je comprends, j'entends "on va clamper". Et spontanément, je dis: "Il a le cordon autour du cou?"

19h09, heure de naissance. Le petit est sorti et posé littéralement 5 secondes sur moi. Je pleure mais je ne sais pas si c'est de joie ou d'inquiétude car je sens que quelque chose ne va pas; je ressens le stress autour de moi. Il ne respire pas, il crapote. La pédiatre vérifie à l'aide de son stéthoscope le cœur du petit durant ces cinq interminables secondes et je comprends que quelque chose cloche. Je regarde mon mari et je lui dis : va avec eux. Sauvez mon bébé, je veux mon bébé. 

Pendant plus d'une heure et trente minutes, je ne vois pas mon mari. La gynécologue s'occupe de moi : périnée intact, pas de déchirure/d'épisio...sur le coup, je ne trouve pas trop de quoi m'en réjouir. Je veux voir mon bébé. Est-il en vie? Va-t-il être sauvé?

La gynécologue me propose gentiment d'aller voir où ça en est durant cette heure interminable. Elle revient et me dit que ça a l'air d'aller, qu'il respire. 

Peu de temps après, mon mari entre avec une SF dans la salle d'accouchement. Ils sont tous les deux masqués donc difficile de percevoir les émotions mais je vois leur regard un peu tristes ou fatigués, je ne sais pas dire. Et je m'attends clairement à ce qu'ils m'annoncent que c'est fini, qu'ils n'y sont pas arrivés.

Finalement, ils m'annoncent que le petit doit être transféré vers un autre hôpital, en néonat, parce qu'il a besoin d'une machine pour l'aider. On nous annonce également qu'il aurait peut-être un souci au cœur. Des examens doivent être faits. Tout est encore flou.

Les 2 heures à dilatation complète, sans poche des eaux ainsi que le cordon autour du cou ont causé de grosses difficultés respiratoires à notre loulou. Il a dû être réanimé, recevoir une bonne dose d'oxygène et la pédiatre a dû lui faire passer un petit tuyau pour dégager les résidus de liquide amniotique.

Mon mari me montre enfin des photos de notre fils, prises juste après qu'il ait été réanimé. Il est magnifique mais je ne l'ai toujours pas eu dans les bras ni entendu pleurer.

Avant qu'il ne soit transféré seul en ambulance, la pédiatre me pose le petit dans les bras. Il me regarde et m'observe. Je savoure ce moment et fonds en larmes. Et là, second déchirement car seconde séparation. Après avoir été enlevé de mes mains à la naissance, voilà qu'il doit être transféré sans moi à l'hôpital. Nous avons chacun notre ambulance. Je demande aux médecins de faire attention à ne pas le perdre. J'ai à peine eu le temps de le voir, de le toucher, de le sentir qu'il faut déjà qu'il s'en aille. Puis, vient mon tour d'être emmenée en ambulance. Mon mari, quant à lui, nous rejoint en voiture avec toutes nos valises, le pauvre. On parle de la femme mais on parle peu de l'homme. Je pense qu'aujourd'hui, à travers cet article, je peux vraiment lui rendre hommage. Il a été formidable, de a à z. Il m'a encouragée, m'a aidée durant la poussée, consolée, rassurée. Et, je ne sais par quelle force, il n'a pas craqué. Et Dieu sait à quel point la souffrance psychologique était là. Il me voyait partir, sous oxygène puis notre fils, réanimé. Il a tout vu de a à z mais a gardé la tête haute, pour nous. 

J'avais prévenu mes parents du déclenchement et je me souviens avoir dit plusieurs fois à ma maman : " Je vous appellerai en vidéo après avoir fait les deux heures de peau à peau". Au final, c'est par message que j'ai prévenu mes parents en essayant de ne pas trop les inquiéter et en même temps de les rassurer. Pour eux, c'était aussi très dur moralement d'être dans une attente et surtout une impasse, sachant que les visites ne sont pas autorisées à l'hôpital. 

Avant de partir en ambulance, on me fait le fameux test COVID. D'ailleurs, je n'ai pas trop compris pourquoi le faire dans ces moments-là, alors que je suis vaccinée et que j'ai demandé une chambre solo. Mais, je leur ai clairement dit de me faire ce qu'ils voulaient, que je voulais juste retrouver notre petit Sélim.

Lorsque je suis arrivée dans le second hôpital, j'ai dû patienter un peu avant de pouvoir rendre visite à notre fils en néonat. Il était là, si sage et si calme. J'ai eu beaucoup de chance selon les SF car j'avais encore du colostrum alors qu'un accouchement de ce genre aurait pu compromettre la lactation etc. J'ai tenu bon finalement, instinctivement peut-être pour lui.

Durant la nuit, j'ai pu allaiter le petit pour lui donner ses premières forces. Le lendemain matin, Dieu merci, il sort de la néonat et me rejoint enfin en chambre. Les examens sont bons, son cœur n'a rien. Ce qu'on pensait être une probable malformation était en fait l'oxygène reçu à la naissance qui s'était mis autour du cœur.  

J'ai prévenu quelques personnes de mon accouchement le lendemain mais je n'avais pas le cœur à ça. J'étais terrorisée par l'épreuve de la veille. Pour vous dire, j'avais changé récemment de téléphone et n'avais que quelques numéros; je n'avais même pas envie d'envoyer ce petit message. Moi qui avais déjà réfléchi au petit texte mignon à envoyer, je n'y avais pas le cœur. J'avais du mal à me réjouir.

J'ai décidé de poster un message global sur mes réseaux, en précisant que cela n'a pas été facile car en général les gens posent cette question...Un peu comme le "ça va?" auquel tu ne diras jamais non. Sauf que moi, je ne voulais pas faire un déni et de toute façon, je n'ai pas pu faire autrement. Dès que je racontais notre histoire, je ne pouvais pas m'empêcher de fondre en larmes, même si c'était par écrit. Clairement, il m'est arrivé de ne pas répondre aux messages dans la journée ou même dans la semaine de mes amis ou mes collègues ; je ne réponds qu'aux appels de la famille; bref, je suis dans ma bulle comme je vous l'ai dit plus haut. Mais je remercie de tout cœur les amies qui ont été présentes, à l'écoute et qui sont venues me rendre visite dès que je remontais un peu la pente. C'est dans ce genre d'épreuve, encore une fois, que tu constates qui est là pour toi et qui ne l'est pas.

Aujourd'hui, notre fils se porte bien et bon Dieu que j'en suis heureuse. Malgré tout, je garde de fortes séquelles psychologiques. Toutes ces épreuves et ces émotions traversées en une seule journée m'ont littéralement vidée. Je commence à peine à émerger. C'est comme si je sortais d'une lourde opération et que l'anesthésie faisait encore effet, trois semaines après. Il me faudra beaucoup de temps encore et je le sais. Je sais aussi que beaucoup de femmes traversent bien pire. Mais, chacune a son histoire, son seuil de douleur et sa façon de surmonter les épreuves. J'essaye de me rattacher au positif, de profiter de chaque petit moment et surtout de me focaliser sur mon bien être et ma reconstruction si je peux l'appeler ainsi.

Cet accouchement aura été un véritable traumatisme psychologique, c'est peut-être pour ça que physiquement j'ai été épargnée.

J'ai du mal à regarder la télévision en ce moment : tout ce qui concerne les hôpitaux, les grossesses, les accouchements, le bruit des monitorings,... J'ai peur de l'abandon, de la perte d'un être cher, de revivre ce moment.. Mais je sais qu'il faut aller de l'avant et je suis reconnaissante d'avoir notre petit bout auprès de nous aujourd'hui car la fin de cet article aurait pu être davantage tragique. Heureusement, nous avons été bien entourés au niveau des équipes médicales.

Je me devais de partager ce jour le plus magique et le plus horrible à la fois parce que je vous ai partagé toute ma grossesse. Je ne veux en aucun cas effrayer les futures mamans ni bénéficier de la pitié de votre part mais ça me tenait à cœur de partager ces instants avec vous. Cela vous permettra également de comprendre pourquoi je suis moins présente sur les réseaux sociaux. Peut-être que mon récit ne vous fera ressentir aucune émotion ou tout son contraire, peut-être que vous avez vécu la même situation ou pire, mais nous sommes humains et nous avons le droit de craquer. J'étais tellement fusionnelle avec notre fils durant la grossesse que j'ai senti ce lien se renforcer davantage suite à cette épreuve. Si vous saviez le nombre de fois où j'ai fondu en larmes en regardant notre petit bébé, notre petit guerrier, le fruit de notre amour. Encore aujourd'hui, je ne suis pas rétablie mais je suis tellement épaulée par ma famille, soutenue par mon mari et boostée par notre fils que je fais tout pour aller mieux. Je vous mentirais si je vous disais que je ne suis plus inquiète. La première nuit à la maison, j'étais prête à faire un massage cardiaque à Sélim car je pensais qu'il convulsait mais il avait simplement avalé de travers. J'ai hurlé le nom de mon mari pour qu'il rapplique puis j'ai fondu en larme. Pour pouvoir aller à ma séance de kiné, je laissais le petit seul avec mon mari pour la première fois durant deux heures, j'ai éclaté en sanglots en arrivant chez ma kiné car depuis la séparation pour le transfert l'hôpital ainsi qu'à la naissance, je n'arrive clairement pas à me séparer de lui.

N'hésitez pas à vous faire aider dans ces moments et surtout, zappez les personnes qui ne vous tireront pas vers le haut. La semaine suivant l'accouchement, j'ai eu une séance d'ostéo pour débloquer ma respiration. Je planifie également une probable visite pour un soutien psy ainsi qu'une séance de microkiné. Ce n'est pas honteux de le dire. Ce sont des choses normales dans ces circonstances.

Enfin, je m'arrête ici.

Je ne sais pas si vous arriverez au bout de cet article mais, si c'est le cas, je vous remercie de m'avoir lue. Surtout, prenez soin de vous et sachez qu'une expérience n'est pas une autre. Ne vous imaginez pas trop de plans pour votre accouchement parce que rien n'est entre nos mains dans ces moments-là. 

Merci pour votre bienveillance ! Vous avez été super nombreuses depuis l'accouchement à m'envoyer des messages réconfortants. 💓



A très vite !

Commentaires

  1. Récit poignant. Mais al hamdoulillah vous êtes sains et saufs Selim et toi. J'ai été traumatisée pour mon 1er accouchement et le deuxième n'a été que facilité et calme. Chaque grossesse de chaque femme est différente. Je vous souhaite que du bonheur et de la joie à ton mari et toi avec ce petit prince d'amour. 🤲🙏❤

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    1. El hamdulilah oui ! Merci à toi d'avoir lu ce récit jusqu'au bout! Cela me rassure de lire que pour le deuxième accouchement tout s'est bien passé. J'espère qu'il en sera de même pour nous inshaAllah. Merci infiniment pour tes bonnes ondes. A très vite ! <3

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  2. Masch'alllah ton histoire ma vraiment touché je vous souhaite que de la force et du courage pour la suite inch'allah. Moi qui est u 2 accouchement et 2 déclenchement pour mes 2 bébés mon premier accouchement c'est passé a merveille mais la grossesse et l'accouchement du 2 ème a été très dure chaque accouchement est différent je sais que c'est difficile avec le temps sa passera ne soit pas bloqué pour l'avenir qu'allah te préserve ton petit princesse le temps passe vite Masch'alllah profite de chaque moment quand je voix mes enfants qui ont 7 ans et 5 ans j'ai l'impression que c'était hier que je les avais mis au monde qu'allah préserve tout c'est petits anges �� bonne continuation pour la suite prend soins de toi et ta petite familles .bisous ��

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    1. Amin! Merci beaucoup pour ton commentaire. C'est vrai que chaque accouchement est différent. J'ai hâte de pouvoir tourner la page sur cet épisode pour pouvoir profiter à 100% de chaque instant. A très bientôt inshaAllah. Gros bisous

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